France - Royaume-Uni : les multiples raisons d’une brouille profonde
« Elle pensait, à tort, que le Royaume-Uni allait devenir une sorte de Singapour-sur-Tamise dérégulé. Elle voulait aussi capter des parts de marché à la City ou au secteur automobile », juge Charles Grant, directeur du Center for European Reform. « Paris a aussi tenu cette ligne très dure pour priver les partis extrêmes d’arguments en faveur du Brexit », ajoute l’expert.